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    • Frontispice
    • INTRODUCTION
    • ABRÉVIATIONS
    • BRÈVES NOTICES SUR LES CORRESPONDANTS DE BÈZE
    • 2717. ANDRZEJ LESZCZYŃSKIAndrzej Leszczyński de Leszno (1553-1606), noble polonais, voïvode de Brzesk en Cujavie. A la même date, ce personnage écrit à Grynaeus une lettre similaire à la présente. Elle est publiée dans Theodor Wotschke, « Das Lissaer Gymnasium am Anfange des siebzehnten Jahrhunderts », Zeitschrift der Historischen Gesellschaft für die Provinz Posen, 21 (1906), p. 194-196. A BÈZE
    • 2718. PALUDIUS A BÈZE
    • 2719. PALUDIUS A [BÈZE]
    • 2720. ANTOINE MERMET A BÈZE
    • 2721. BENOÎT BALARANDBenoît Balarand († ca 1621), pasteur de Castres, sur qui voir supra t. XXXVII, p. 13 et n. 1.
    • 2722. TOBIE YOLLANDOriginaire de La Rochelle, Tobie Yolland est étudiant à Genève en 1581 (Livre du Recteur, t. VI, p. 273). Il est ensuite pasteur à Prilly et Renens, diacre à Lausanne, principal du Collège de Lausanne en 1592 (supra t. XXXI, p. 198 et n. 16). Il est pasteur de Vitry-le-François de 1598 à 1620, et pasteur de Catherine de Bourbon en 1601 et en 1603. Il a eu mauvaise réputation à Genève à cause de ses mœurs (Reg. Comp. past., t. IX, p. 267 et n. 1, affaire remontant à 1581). A BÈZE
    • 2723. BÈZE A HENRI IV
    • 2724. BÈZE A PALUDIUS
    • 2725. BÈZE A JEAN, COMTE DE NASSAU DILLENBURGJean, comte de Nassau-Dillenburg, deviendra Jean VII de Nassau-Siegen de 1607 à 1623. Né en juin 1561, à Siegen, et décédé en octobre 1623, il était fils de Jean VI de Nassau-Dillenburg, qui était alors comte régnant jusqu’à sa mort en 1606 (Die Territorien des Reichs im Zeitalter der Reformation und Konfessionalisierung, éd. par A. SCHINDLING et W. ZIEGLER, t. IV : Mittleres Deutschland, Münster, 1992, p. 248. Voir aussi supra t. XL, p. 175, n. 7). Le futur Jean VII étudie brièvement à Heidelberg et rejoint l’administration du comté paternel. Il améliore aussi les techniques militaires. Il effectue des voyages diplomatiques aux Pays-Bas entre 1592-1593 puis en 1597-1598. Il réforme aussi l’armée des Orange-Nassau. Il commande en 1601-1602 la Livlandarmee suédoise. A la tête des armées allemandes, il fait face aux armées espagnoles qui traversent le Palatinat. En 1621, il échoue à défendre le Palatinat contre l’armée d’Ambrogio Spínola Doria. Il épouse en premières noces Magdalena von Waldeck en novembre 1581 (citée supra t. XXXV, p. 154 et n. 3) dont deux de leurs enfants s’immatriculent à Genève (voir ci-dessous n. 2). Il a été champion de l’unité politique des réformés contre les forces de la Contre-Réforme et grand théoricien militaire (Rolf GLAWISCHNIG, « Johann VII. », in N.D.B., t. X (1974), p. 501).
    • 2726. BÈZE A JEAN, COMTE DE NASSAU DILLENBURGVoir notre lettre précédente n° 2725 et n. 1.
    • 2727. BÈZE A EUSEBIUS CLEBER
    • 2728. HUGH BROUGHTON A BÈZE
    • 2729. [BÈZE] A M. DE OU DU COLOMBIERIl s’agit d’un gentilhomme huguenot français (les familles de ou Du Colombier de Suisse romande sont toutes éteintes au début du XVIe siècle, et de plus, s’il s’était agi de Vaudois ou de Neuchâtelois, Bèze les eût renvoyés à leur Consistoire, à qui appartient officiellement la juridiction matrimoniale). Mais il y a deux familles nobles protestantes en France portant le nom de fief de Colombier ou Du Colombier : les d’Aleyrac (en Quercy) et les Briqueville (en Normandie). Il y avait alors Guillaume d’Aleyrac Du Colombier, qui s’est illustré à Moncontour et servit contre la Ligue, mort en 1606 ou 1607, ayant épousé en 1575 Anne de Sibleyras (France prot.2, t. I, col. 133-135), et Paul de Briqueville de Colombières, qui participa à la bataille de Coutras, etc., épousa en 1574 Jeanne de Mouchi de Senarpont en premières noces, et Hélène de Montbarot dont il eut des fils et des filles : Marguerite, mariée à François de Saint-Ouen sr de Fresnay, et Hélène, épouse de Tanneguy de Saint-Ouen sr de Magny (France prot2., t. III, col. 169-170, et Lachenaye-Desbois et Badier, Dict. de la noblesse, t. IV, Paris, 1864, col. 184-185).
    • 2730. HUGH BROUGHTON A BÈZE
    • 2731. FRÉDÉRIC BILLETFrédéric Billet, né à Lille (Nord, France), étudie en 1584 et 1585 à Genève, où il soutient sa thèse De secunda orationis dominicae petitione en avril 1585. Il s’immatricule à Heidelberg en décembre de la même année et soutient sa thèse en février 1587. Il est le pasteur francophone des réformés de Wetzlar (Hesse, Allemagne) de 1588 à 1595. En novembre 1595, il devient pasteur de l’Eglise wallonne de Hanau jusqu’à sa mort en octobre 1621 (Livre du Recteur, t. II, p. 210, France prot.2, t. II, col. 558s.,Bulletin, t. 18, 1869, p. 108). A BÈZE
    • 2732. HENRI DE SMETHenri de Smet, en latin Henricus Smetius (1537-1614), né en Flandres, étudia la médecine à l’académie de Louvain (1553), puis à Rostock (1557), Heidelberg (1558-1560) et enfin Bologne, où il fut promu docteur en médecine (1561). Après avoir pratiqué son art à Anvers durant six ans, il devint le médecin personnel du comte Simon VI zur Lippe à Lemgo (1567), puis, en 1573, du prince électeur Frédéric III du Palatinat jusqu’à la mort de ce dernier en 1576. Jean Casimir, second fils de Frédéric III, nomma Smet professeur au collège de Neustadt, où il fut aussi recteur (1582-1585). C’est en 1585 que Smet devint professeur à l’université de Heidelberg, où il demeura jusqu’à sa mort (A.D.B., t. XXXIV, p. 478s. ; Die Deutschen Humanisten…, Abt. I : Die Kurpfalz, t. IV, Turnhout, 2013, p. 195-197). A BÈZE
    • 2733. [BÈZE] A LOUIS COURANTFils de Louis Courant (lequel est arrivé à Genève en 1558, Livre des Habitants, t. I, p. 147) et de Jeanne Ravine, Louis Courant est né à Genève (sans avoir laissé de traces ni dans le Livre du Recteurni dans le registre d’état-civil d’après Reg. Comp. past., t. VIII, p. 53 et n. 262). Il est serviteur de Bèze en 1595, qui lui lègue cinq écus soleil à sa mort pour cette raison (Reg. Comp. past., t. IX, p. 137 et n. 421). Cette fonction explique la familiarité de Bèze, qui commence sa lettre par un prénom, Louis, ce qui est très rare. De plus, le père Courant venait du diocèse de Sens, près de Vézelay, et Louis Courant était donc du « pays » de Bèze. En même temps ou après, Louis est étudiant de Bèze en théologie à Genève (ci-dessous dans notre lettre : « m’osant asseurer que prendrez le tout comme de celuy… qu’il vous compte… entre les plantes que Dieu luy a fait la grace de cultiver en sa sainte maison… »). En 1600, Bèze charge Louis Courant de transporter de Genève à Bâle une lettre de Jean de Chandieu à Léonard Constant au sujet de la conférence de Fontainebleau (voir supra t. XLI, p. 79, n. 4). Il est en Angleterre en décembre 1600 (Reg. Comp. past., t. VIII, p. 53), et de retour à Genève en septembre 1601 (Reg. Comp. Past., t. VIII, p. 101). Alors que la Compagnie attend d’un enfant du pays devenu ministre qu’il serve les Genevois, Courant s’est engagé auprès d’une autre Eglise comme pasteur, comme Bèze en informe la Compagnie (d’après une lettre perdue, voir Reg. Comp. past., t. VIII, p. 101). En janvier 1602, la Compagnie se résigne à ne jamais pouvoir employer Courant comme pasteur : il est nommé pasteur à Anduze en mai 1603 et part pour sa paroisse en septembre. La Compagnie lui signe « des lettres de témoignage et non pas seulement d’envoi » (Reg. Comp. past., t. VIII, p. 213 et 249). Dès ce moment, il est pasteur en France. Après Anduze, il exerce le ministère à Alès, Orange et Lunel (Hérault) (France prot.2, t. IV, col. 785s.). En 1630, il est accusé d’avoir participé à la révolte de Gaston d’Orléans et condamné au bannissement et se réfugie à Orange, qui n’appartenait pas au territoire royal. Il revient en 1636, à Alès, est transféré à Lunel en 1640 où il meurt en 1643 (M. A. Bardon, « Listes chronologiques pour servir à l’histoire de la ville d’Alais (suite) », in Mémoires de l’Académie de Nîmes, t. XIV (1891), p. 182 et n. 2).
    • 2734. PANTALEON CANDIDUS [WEISS]Sur Pantaleon Candidus ou Weiss (1540-1608), voir supra t. XXX, p. 91, n. 1. Voir aussi Melchior Adam, Vitae Germanorum theologorum qui superiori saeculo… propugnarunt, Francofurti, 1653, p. 778-783. A BÈZE
    • 2735. HUGH BROUGHTON A BÈZE
    • 2735. HUGH BROUGHTON A BÈZE
    • 2736. DAVID PAREUS A BÈZE
    • 2737. JACQUES COUET DU VIVIER A BÈZE
    • 2738. BÈZE A DANIEL FABINUSDaniel Fabinus se forme à l’université de Strasbourg. Il est un juriste slovaque qui travaille avec le Genevois Denis Godefroy et le Hongrois Sebastianus Thekeolius. Ils publient ensemble en 1603 une De Donationibus… Disputatio, à Strasbourg (VD17 23 : 324080Q). En plus de ce livre, il laisse sept œuvres répertoriées aux VD16 et VD17. On ignore ses dates de naissance et de mort. Voir J. Kuzmík,Slovník autorov slovenských a so slovenskými vzt’ahmi za humanizmu, t. I, Martin, 1976, s. n.
    • Chapitre
    • 2739. HENRI IV A BÈZE
    • 2740. PEUCER A BÈZE
    • 2741. GRYNAEUS A BÈZE
    • 2742. DANIEL LOUHETOn trouve, au Livre du Recteur (t. I, p. 128) la mention de « Daniel Louhetus, Laudonensis, cl. Maii [1599] cand. ss. theol. », et au t. IV, p. 366, une notice tout à fait lacunaire : « n’a pas pu être identifié aux Arch. dép. de l’Aisne » (car Laudunensis signifie de Laon, chef-lieu de l’Aisne). Notons que dans le ms. Tronchin 4, notre lettre est immédiatement suivie d’une lettre du même Daniel Louhet, également datée de Francfort le 1er avril 1602, à Mme de Bèze, la remerciant chaleureusement de son hospitalité, avec des vœux à transmettre à toute sa famille, spécialement à son père, Baptiste Del Piano. Un post-scriptum indique : « Je n’ay peu encores avoir commodité d’aller à Ano (Hanau), mais espere, Dieu aidant, passer par là en allant en la maison de mon gentilhomme, qui a receu luy mesme la lettre à Monsieur de Bourg, et au plus tost certifieray Madame Pinelle [en 1594, à Genève, elle logeait Rodolphe Simmler, note H.-V. Aubert] touchant ce dont elle m’en chargea ». Daniel Louhet a donc habité chez Bèze, en tant que précepteur d’un gentilhomme allemand (voir à ce sujet notre n. 3). En cherchant partout, et vainement, quelque trace de ce Daniel Louhet, nous sommes tombés sur un « Daniel de Lovigni, Picard », qui part en voyage à travers l’Allemagne en 1588, accompagnant le baron Johannes Dionysius von Zerotin, Amandus Polanus et son frère Valerius, ainsi que Janus Wenzick ab Ossen, gentilhomme morave (ils figurent les six ensemble dans la Matrikel der Universität Heidelberg, t. II, p. 139, et dans celle de Bâle, hrsg. H. G. Wackernagel, t. II, p. 380, en mai 1590, et ce voyage est évoqué par E. Stähelin, Amandus Polanus von Polansdorf, Bâle, 1955, p. 17). Serait-ce le même qui, en 1588, avait un peu embelli son nom en « de Lovigni » ? D’autant plus qu’on ne trouve guère de famille de Lovigny en France, sinon au XVIIe s. en Normandie, mais bien la mention d’un fief ou comté figurant parmi les titres de la famille de Béthune ou de celle de Gramont (voir le P. Anselme, Hist. généal. et chronol. de la Maison royale de France, t. IV (Paris, 1728), passim). Il est curieux de rencontrer ainsi ces deux Daniel, à peu d’années de distance, précepteurs de nobles allemands, étant l’un à Bâle et l’autre à Genève… On est bien tenté de n’en faire qu’un. A BÈZE
    • 2743. LAUBÉRAN DE MONTIGNYSur François Laubéran de Montigny, pasteur à Paris, voir supra t. XXX, p. 136, n. 1. A BÈZE
    • 2744. MONAU A BÈZE
    • 2745. [BÈZE] A [WILLIAM ET PATRICK RUTHVENIls sont les frères survivants de John Ruthven (1577-1600), 3e comte de Gowrie, et d’Alexandre Ruthven (1580-1600), tués lors de la visite du roi James VI d’Ecosse à leur domaine de Gowrie le 5/15 août 1600. On ne sait rien des deux frères survivants à cause de la damnatio memoriae imposée par le roi James VI lui-même (« The king’s determination to rid himself of any reminders of the troublesome family was highly unusual : he insisted that the name of Ruthven be banned, refused to allow any of that name to come within 10 miles of the court, and was relentless in his pursuit of Gowrie’s brothers William and Patrick. » in Amy L. Juhala, O.D.N.B., s. n. « Ruthven, John, third earl of Gowrie (1577/8-1600) »).]
    • 2746. AMBROISE DE MOUYAmbroise de Mouy, marchand flamand ou parisien, résidant à Aix-la-Chapelle, a vu Bèze en personne pour la dernière fois lors d’un prêche à Paris, précisément au lieudit « Popincourt », en 1561 (voir suprat. III, p. 235 et n. 4). Non content d’avoir déjà écrit à Bèze une lettre (perdue) datée du 8/18 mars 1602, il récrit à Bèze la présente, puis une lettre à la Compagnie en janvier 1603 (Reg. Comp. Past., t. VIII, p. 457, voir n. 3, lettre qui montre que Mouy a été ému par le récit de l’Escalade), formulant la même demande, à savoir que les Genevois écrivent des vers à l’adresse des Néerlandais, affligés par la guerre contre l’Espagne, comme Bèze l’avait fait pour honorer Elisabeth Ière, après la victoire de ses troupes sur l’Invincible Armada (supra t. XXIX, p. 284-293). Les pasteurs genevois ne donnent pas suite à cette demande (Reg. Comp. past., t. VIII, p. 188), ayant reçu une lettre analogue à la présente. Ils lui ont adressé une réponse (qui répond aussi à la présente, au nom de Bèze). On la trouvera ibid., p. 410s., datée du 9/19 décembre 1602. A BÈZE
    • 2747. JACQUES COUET DU VIVIER A BÈZE
    • 2748. LAUBÉRAN DE MONTIGNY A BÈZE
    • 2749. LAUBÉRAN DE MONTIGNY A BÈZE
    • 2750. LUDWIG VON SAYN-WITTGENSTEIN A BÈZE
    • 2751. [JEAN II] DE BEAUVOIR – LA NOCLEJean de La Fin, sr de Beauvoir et La Nocle, tenait La Nocle de sa mère, Madeleine de Salins, qui avait épousé Jean de La Fin sr de Beauvoir et Pluviers. De ce mariage naquirent trois fils : Jean, auteur de la présente lettre, Jacques, volontiers intrigant et que nous avons déjà vu à propos de la conjuration de Biron, et Guy-Philippe. Comme l’auteur de la lettre signe « vostre… antien amy et serviteur », et bien qu’il ne donne pas son prénom, ce ne peut être que Jean II de La Fin, qui fut notamment ambassadeur de Henri IV en Angleterre de 1589 à 1593, car il a souvent correspondu avec Bèze depuis 1574 (supra t. XV, passim, notamment p. 124 et n. 12 : il était envoyé de Condé auprès des Suisses et fut malade avec sa femme à Morges, où Bèze se rendit pour le visiter), et dans plusieurs volumes suivants, et en dernier lieu t. XXXVI, 1595, p. 143, n. 8. La Fin était arrivé à Genève en 1572 déjà, avec une vingtaine de gentilshommes huguenots ayant échappé à la Saint-Barthélemy, dont la France prot. t. VI, p. 200-202, donne la liste, dans son article La Fin, famille de Bourgogne. Jean II de La Fin est donc bien connu, mentionné par plusieurs dictionnaires, dont le Dict. de biogr. française, t. 5, col. 1224, qui mentionne, comme les autres, le fait qu’il fut l’un des commissaires de l’exécution de l’édit de Nantes nommés en 1600, et malgré cela écrit sans sourciller « il est à peu près certain qu’il mourut à Maligny en 1599 » ! Notre lettre montre même qu’il était bien vivant en 1602. Pourquoi parle-t-on de Maligny ? Parce que notre La Fin avait épousé Béraude de Ferrière-Maligny (voir supra t. XIV, p. 186, n. 17). A BÈZE
    • 2752. MICHAEL LOKMichael Lok (1532-1620), voyageur infatigable, fut directeur de la Cathay Company en 1577, consul de la Levant Company à Alep en 1592-94. Polyglotte (comme on le voit dans ce texte), il a traduit en anglais cinq décades du De orbe novo de Pietro Martire d’Anghiera (sur les Indes occidentales). Voir Adrien Chopard, « Genève et les Anglais », B.H.G., t. VII, 1940, p. 225, et O.D.N.B., s. n. Il ne semble pas avoir écrit d’autre lettre à Bèze. A BÈZE
    • 2753. JOSEPH DUCHESNE, SIEUR DE LA VIOLETTESur le sr de La Violette (1544-1609), voir supra t. XXXV, p. 45, n. 1, et en dernier lieu t. XXXVII, p. 72, n. 4. Il est toujours collaborateur officieux de l’ambassadeur de France à Soleure., A BÈZE
    • Lettre
    • 2754. DUPLESSIS – MORNAY A BÈZE
    • 2755. JOSEPH DUCHESNE, SIEUR DE LA VIOLETTE, A BÈZE
    • 2756. GRYNAEUS A BÈZE
    • PIÈCES ANNEXES
      • I POÈME DE JEAN JAQUEMOT SUR LES PSAUMES DE BÈZE
    • II ÉLOGE DE BÈZE PAR CHARLES FITZGEFFRYNé vers 1575, Charles Fitzgeffry est diplômé d’Oxford en 1600. Dès 1596, il publie un recueil de poèmes dédié à Elisabeth Ière. Il est ordonné prêtre anglican après 1601. De retour dans sa ville natale, Fowey (comté des Cornouailles), il devient lecturer. En 1630, un sermon prononcé pour une occasion solennelle est publié. Il en appelle à la charité publique pour les captifs anglais des pirates turcs qui interviennent dans le sud de l’Angleterre (Ch. Fitzgeffry, Compassion towards Captives, Oxford, 1631). En plus de ses sermons, il publie de nombreux poèmes et épigrammes. Il démissionne de la charge derector de Saint Dominick en mars 1636 et meurt en février 1638 (Anne Duffin, « Fitzgeffry, Charles (ca1575-1638) », O.D.N.B., s. n.).
    • ADDENDA
      • AU TOME XXIV XII RÉPONSE D’ABRAHAM BUCHHOLZERAbraham Buchholzer est né en 1529 en Saxe. Après ses études à Francfort et à Wittenberg où il s’est lié avec Mélanchthon, il est recommandé par Zacharias Ursinus à Crato en Saxe. Il devient le recteur de l’Ecole de Grünberg en 1556. Il quitte l’Ecole pour devenir en 1563 pasteur près de Sprottau. En 1573, il est l’aumônier de la duchesse Catherine, veuve du margrave Jean II de Brandebourg. Il perd son poste à la mort de la duchesse, en 1574, et devient pasteur à Freistadt en Saxe. En 1579, le duc Ernst Joachim d’Anhalt lui demande d’inspecter ses Eglises, offre qu’il refuse pour raison de santé. Il se consacre alors à sa passion : la chronologie des origines du monde. Son Index chronologicus (VD16 ZV17008), fruit de dix-sept ans de travail, continue l’histoire de la création du monde jusqu’en 1580, et rencontre un franc succès dans la communauté des savants. En 1580, il publie son Isagoge chronologica (Gorlicii, 1580VD16 B9035 et B9031), prévue à l’origine en trois parties, mais la mort l’interrompt dans son travail (il meurt en juin 1584). Son fils Gottfried, greffier de Görlitz, récupère les travaux préparatoires pour terminer les deuxième et troisième parties de l’Isagoge (voir supra t. XXVI, p. 118 et n. 5). Il publie en 1599 une nouvelle édition de l’Index chronologicus (Görlitz, 1599, VD16 B9033). Finalement, Gottfried Buchholzer termine la publication de son père en 1634 (VD17 23 : 248194D). (Adolf Schimmelpfennig, « Buchholzer, Abraham », A.D.B. t. III (1876), p. 481-482.) – Görlitz est une ville frontalière de l’est de l’Allemagne, en Saxe, dans l’arrondissement de Dresde. A BÈZE PAR L’INTERMÉDIAIRE DE MONAU
    • ADDENDUM AU T. XXXVIII A LA SUITE DE L’ANNEXE I (PRÉFACE DES POEMATA VARIA DE BÈZE)
      • A) VERS DE JACQUES LECT A VENCESLAS DE ZASTRISELL LE JEUNE SUR SA PUBLICATION DES POÈMES DE BÈZE
        • Ad generosum et nobilissimum D. Venceslaum M. De zastrisell , elegantissima th. bezae poemata publicantem
        • Au généreux et très noble Venceslas Morkovsky de Zastrisell, qui publie les très élégants poèmes de Théodore de Bèze
      • B) VERS DE JEAN JAQUEMOT A VENCESLAS DE ZASTRISELL LE JEUNE SUR SA PUBLICATION DES POÈMES DE BÈZE
        • Ad eundem
    • CORRIGENDA
    • INDEX DES NOMS DE PERSONNES ET DE LIEUX DU TOME XLII
    • TABLE DES MATIÈRES
Correspondance. Tome XLII (1601-1602)
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Pour citer ce chapitre :

de Bèze, Théodore.
Chap. « Page de titre () » in Correspondance. Tome XLII (1601-1602).
Ed. Alain Dufour et al..
Genève: Librairie Droz, 2016
9782600047661

Pour citer un extrait :

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Travaux d’Humanisme et Renaissance
DLXIX
SOCIÉTÉ DU MUSÉE HISTORIQUE DE LA RÉFORMATION
Théodore de Bèze
CORRESPONDANCE
Tome XLII
(1601-1602)
recueillie par Hippolyte Aubert
publiée par Alain Dufour,
Hervé Genton et Kevin Bovier
avec la collaboration de Béatrice Nicollier
LIBRAIRIE DROZ
11, rue Massot
GENÈVE
2016

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